Comment et à quel âge enseigner la religion à mon enfant ?
Parmi les préoccupations de chaque parent musulman, nous pouvons bien évidemment citer la bonne éducation religieuse inculquée à son enfant. Dès la naissance de celui-ci, les questions fusent : “De quelle manière vais-je pouvoir lui transmettre les valeurs nobles de l’islam ?”, “À quel âge pourrai-je commencer ?”, et “Par quoi débuterai-je cet enseignement si nécessaire ?” À ces nombreuses interrogations, force est de constater que les réponses se font bien plus rares. Il existe certes quelques [rares] ouvrages traduits en français apportant des pistes particulièrement intéressantes, mais il n’est pas toujours facile de s’y plonger ou de s’y référer lorsque le besoin s’en fait ressentir.
Quel constat regrettable lorsque nous savons l’importance de l’apprentissage religieux de chacun de nos enfants, à l’image de la parole de Yazîd Ibn Mu’ammar : “L’apprentissage de la science en bas-âge est semblable à la gravure dans la pierre.” [Mawsoû’ah Ibn Abî Ad-Dounyâ 8/133].
Voyons donc ensemble quels sont les moyens et outils à notre portée afin de les mettre au service de l’apprentissage religieux de notre progéniture, selon l’âge de chacun, bien évidemment.
Mon enfant a 2 ou 3 ans
Quelles sont les capacités de mon enfant ?
Votre enfant traverse une période riche en acquisitions, aussi bien du point de vue moteur que langagier. Il explore son environnement, le teste et dépense beaucoup d’énergie à développer son équilibre, à courir, à grimper… En parallèle, il acquiert de nouveaux mots à une vitesse prodigieuse et s’exprime de mieux en mieux au fil des semaines. Et les louanges reviennent à Allah.
Quelle compétence puis-je chercher à développer chez mon enfant durant cette période ?
Comme nous venons de le dire, cette période est propice au développement langagier alors profitons-en !
Enseigner la Parole du Tawhid
Le parent ne doit pas hésiter à faire répéter à son enfant la parole du Tawhid : “Lâ ilâha illa Allah”. Même si l’enfant ne comprend pas forcément le sens de celle-ci, il fait partie du bon comportement du parent et de sa responsabilité de lui transmettre cette parole grandiose, celle proclamant l’Unicité d’Allah, celle par laquelle Allah nous éloigne de l’Enfer et nous fait entrer dans Son vaste Paradis.
À ce sujet, Ibn Al-Qayyim a dit : “Lorsque l’enfant prononce ses premiers mots, on doit lui inculquer la prononciation de l’attestation de foi : “Lâ ilâha illa Allah, Mouhammad Rasoul Allah.”” [Tuhfat Al-Mawdoûd bi Ahkâm Al-Mawloûd]
Transmettre d’autres paroles bénéfiques
En plus de l’attestation de foi, il est possible pour le parent de transmettre à son enfant d’autres paroles profitables que l’enfant mémorisera facilement, bi idhni Llah. Dire “Bismillah” avant de manger, dire “Al Hamdoulillah” après avoir éternué (même si la prononciation n’est pas toujours très précise…), dire “As-Salamoaleykoum” à ses proches… Autant d’idées et de sources d’inspirations pour le parent souhaitant transmettre dès le plus jeune âge quelques principes islamiques et quelques règles de bonne conduite.
Introduire progressivement le principe de questions-réponses
Autre idée intéressante, selon le niveau de compréhension de l’enfant : celle des questions-réponses. Cette méthode d’apprentissage, bien connue auprès des savants et des étudiants en science religieuse, se révèle particulièrement efficace, même auprès des enfants.
Par exemple, vers les 3 ans de l’enfant, il est possible de lui demander : Où est Allah ? Qui est ton Prophète ? Quelle est ta religion ? Qui a créé les arbres ? Les nuages ? Au début, il est demandé au parent de répondre à la place de l’enfant puis, progressivement, à force de répétition, ce dernier saura y répondre, bi idhni Llah.
Quelques apprentissages parmi les bonnes manières du musulman
Au fil des années, l’enfant gagne en autonomie : il aime faire les choses tout seul. Comme manger par exemple. L’occasion idéale pour le parent de lui apprendre à manger de la main droite, assis, selon les bonnes manières qui conviennent au musulman.
Cette recherche d’autonomie peut aussi se manifester au moment de l’habillage. Une nouvelle occasion d’encourager nos enfants à se tourner vers l’islam et ses enseignements. C’est l’heure de la prière et votre enfant vous voit mettre votre hijab, votre jilbab ou votre qamis ? Il vous voit étendre votre tapis de prière ? Offrez-lui l’occasion de vous imiter en mettant à sa disposition quelques vêtements faciles à enfiler, un hijab adapté et pourquoi pas, un tapis de prière à sa taille.
Des moments partagés qui seront autant de souvenirs à garder précieusement.
Mon enfant a entre 4 ans et 7 ans
Quelles sont les capacités de mon enfant ?
Durant cette période, les aptitudes de votre enfant évoluent. Il est désormais capable d’écouter une histoire ou un récit de façon calme et concentrée, il s’intéresse à divers sujets, manifeste sa curiosité, pose des questions et se tourne progressivement vers l’acquisition de la lecture.
Quelle compétence puis-je chercher à développer chez mon enfant durant cette période ?
L’acquisition de la lecture et l’intérêt que porte l’enfant pour les livres et les récits (qu’ils soient sous forme écrite ou audios) durant cette période sont à mettre en avant !
Initiation à la croyance
Votre enfant sait désormais où est Allah, qui est son Prophète, qui a créé les cieux et la terre, le jour et la nuit, le soleil et la lune. Il est vivement conseillé de poursuivre les apprentissages dans ce domaine si précieux qu’est la croyance authentique. Pour Qui prions-nous ? Pour Qui jeûnons-nous ? Qui invoquons-nous ? Au fil des occasions et des moments passés ensemble, le parent ne doit pas hésiter à mentionner Allah et à parler de ‘Aquida avec son enfant.
L’évocation d’Allah au quotidien
Au cours d’une journée, les occasions sont bien nombreuses d’évoquer Allah et de Lui demander Sa protection ou Sa bénédiction. Avant d’aller aux toilettes, avant de manger, avant de dormir ou de sortir… Les invocations du quotidien doivent être régulièrement citées par le parent afin de faciliter leur mémorisation par l’enfant. Il n’est pas nécessaire de se montrer dur avec son enfant s’il oublie parfois une invocation.
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La mémorisation des courtes sourates
La mémorisation des sourates du Coran constitue une étape importante marquant cette tranche d’âge. L’enfant écoute les courtes sourates et les répète jusqu’à une mémorisation et une prononciation satisfaisantes. Cela permettra aussi aux grands frères et sœurs de les réviser et aux plus jeunes, de s’y familiariser.
Sourates An-Nâs, Al-Falaq, Al-Ikhlâs, Al-Masad… Il est demandé au parent de les enseigner à leurs enfants et de les faire réviser régulièrement.
L’écoute d’histoires profitables
Durant cette période, les histoires occupent une place importante dans la vie de l’enfant. Elles lui permettent de s’évader, d’imaginer un autre univers, un autre contexte et d’acquérir de nouvelles connaissances dans divers domaines. C’est une occasion rêvée pour lui faire écouter des histoires profitables et bénéfiques pour la construction de son identité musulmane.
La vie des Prophètes, celle des Compagnons, des épisodes de la Sira… Les domaines sont divers et variés et partagent tous un point commun : celui d’ouvrir nos enfants à un univers riche en événements, en informations et en culture : l’histoire du monde musulman.
Parmi les supports à privilégier, nous pouvons citer les livres adressés aux enfants. Renfermant de nombreuses images, des couleurs vives et un niveau de langage qui leur sont adaptés, ces manuels sont à avoir dans chaque foyer. En plus de ceux-ci, il est possible de varier les plaisirs et supports d’apprentissage en proposant l’écoute de cours ou de livres audio pour enfants. Que l’on soit à la maison, en voiture, ou en voyage, ces cours audio nous accompagnent partout et plaisent beaucoup aux enfants qui voient en ces supports une nouvelle façon de répondre à leurs besoins d’évasion et d’imagination.
Mon enfant a entre 7 ans et 11 ans
Quelles sont les capacités de mon enfant ?
Durant cette tranche d’âge, l’enfant part à la découverte du monde qui l’entoure. Il prend conscience des réalités de son environnement, qu’ils soit proche ou non. Il devient un être social et se construit un univers dans lequel les amis et les personnes extérieures au foyer prennent davantage de place. Il fait du sport, s’intéresse à diverses thématiques, développe son sens des responsabilités et devient un être autonome.
Quelle compétence puis-je chercher à développer chez mon enfant durant cette période ?
En pleine construction de son autonomie et en pleine affirmation de son identité en tant qu’être social à part entière, c’est le moment de lui donner plus de responsabilités, notamment concernant la prière !
L’apprentissage de la prière : un tournant décisif
C’est l’occasion de lui enseigner les ablutions et la prière. En effet, le Prophète ﷺ a dit :
“Enjoignez vos enfants à accomplir la prière à sept ans. S’ils sont réticents à l’âge de dix ans, corrigez-les et séparez-les dans leurs couches.” [Hadith Sahih]
Dans son ouvrage J’éduque mon enfant, Umm ‘Abd Ar-Rahmân Al-Athariyah dit :
“Il convient de lui enseigner les règles de la prière, le nombre d’unités qui composent chacune d’elles et la façon de les accomplir.”
Quant au livre L’éducation des enfants à la lumière du Coran et de la Sunna, l’auteur, ‘Abd As-Salam Ibn ‘Abd Allah As-Soulaymân explique :
“Si l’enfant grandit dans l’amour de la prière et s’il a conscience qu’Allah l’observe, il aura une éducation saine et vertueuse par la volonté d’Allah. Celui qui la néglige ou qui la délaisse court à sa ruine”.
Initiation au jeûne, pilier de l’islam
Le jeûne constitue aussi une étape clé dans la vie de l’enfant. Progressivement, il peut s’initier au jeûne, notamment lors des journées du mois béni de Ramadan.
Dans son ouvrage J’éduque mon enfant, Umm ‘Abd Ar-Rahmân Al-Athariyah dit :
“Il faut aussi l’habituer à jeûner par étapes, comme par exemple l’enjoindre à jeûner le quart d’une journée, puis sa moitié, puis un jour entier.”
La croyance : Des bases saines et fermes
Les apprentissages autour de la croyance sont toujours prioritaires également. L’enfant est désormais en mesure de mieux comprendre la parole d’Unicité “Lâ ilâha illa Allah” et notamment ses deux piliers que sont la négation (qu’aucune divinité ne mérite l’adoration) et l’affirmation (que Seul Allah est en droit d’être adoré).
L’enfant connaît désormais les piliers de l’Islam, les piliers de la foi, les trois questions qui seront posées dans la tombe (Qui est ton Seigneur ? Qui est ton Prophète ? Quelle est ta religion ?)… Toutes ces notions importantes peuvent régulièrement être révisées, notamment par le biais de cours en ligne, de cours audio ou de livres adaptés à son âge.
L’enfant peut également partir à la découverte de quelques Noms d’Allah, avec les explications de ses parents (aidés d’un ouvrage de référence) ou à l’aide d’un livre adapté. Il en apprendra plus sur les Noms et les Attributs de son Créateur et ainsi, Le connaîtra mieux et L’adorera mieux.
L’importance de l’apprentissage de la langue arabe
Une fois les lettres de l’alphabet arabe mémorisées et maîtrisées, il est temps d’acquérir de véritables compétences en lecture arabe, même si tous les mots ne sont pas compris. Au fil des lectures en langue arabe, sa façon de lire se fluidifiera et son vocabulaire s’élargira, bi idhni Llah. Il existe également de courtes vidéos en langue arabe et de nombreuses chaînes YouTube arabophones pour familiariser son enfant à cette noble langue.
La lecture du Coran et sa mémorisation
Durant cette période, l’enfant poursuit son apprentissage des sourates du Noble Coran. Selon son rythme de mémorisation, il a sans doute déjà mémorisé les sourates de Jouz ‘Amma et de Jouz Tabarak. Il n’hésite pas à les réviser régulièrement et à les réciter durant ses prières.
Dans son livre L’éducation des enfants à la lumière du Coran et de la Sunna, l’auteur, ‘Abd As-Salam Ibn ‘Abd Allah As-Soulaymân explique :
“L’apprentissage du noble Coran joue un rôle important dans l’éducation des enfants. Si nous souhaitons le bien et un rang élevé pour nos enfants dans ce monde et dans l’au-delà, nous devons veiller à leur enseigner le Livre d’Allah (lecture, mémorisation, méditation et mise en pratique), surtout de 7 à 14 ans, qui est la meilleure période pour apprendre par cœur.”
Étape importante, le parent doit s’assurer que l’enfant lit le Coran directement en langue arabe afin de se familiariser toujours un peu plus avec cette langue. Par ailleurs, il est important que l’enfant récite le Coran en respectant les règles de Tajwid. S’il ne les connait pas, il lui est demandé de réciter en prenant exemple sur son professeur ou l’enregistrement d’un récitateur. Et ce, afin de respecter les sourates telles qu’elles ont été révélées et afin d’éviter toute erreur de sens.
La lecture et le monde du récit : un domaine toujours d’actualité
À cet âge-là, la lecture et l’écoute de récits occupent toujours une place centrale dans le développement de l’enfant.
Ainsi, le parent n’a pas à hésiter à lui proposer des cours audio, des récits, des histoires des Prophètes ou encore celle des illustres Compagnons ou de grands explorateurs musulmans afin d’allier apprentissage religieux et plaisir.
Initiation aux valeurs morales et aux qualités humaines diverses
L’enfant passe de plus en plus de temps à l’extérieur du foyer et apprécie passer de longs moments en compagnie de ses cousins, cousines, voisins, voisines, amis, amies, camarades de classe, coéquipiers au sport… À cette occasion, l’adulte peut transmettre à celui-ci certaines valeurs nobles et morales de tout musulman : fair-play, interdiction de la triche, partage, comportement doux, visage souriant, générosité, entraide… Autant de qualités humaines que l’enfant doit essayer d’acquérir le plus tôt possible.
Dans son livre L’éducation des enfants et les bases de leur formation, Cheikh Mouhammad Ali Ferkous explique :
“Parmi les piliers de l’éducation et de la formation de l’enfant, il y a le fait de lui enseigner les notions du bien et du mal dans cette vie et de lui apprendre ce qu’il lui faut entreprendre pour faire le bonheur de sa personne et ce qu’il lui faut délaisser pour lui éviter les malheurs.”
Mon enfant a 12 ans et plus
Quelles sont les capacités de mon enfant ?
Durant cette tranche d’âge, l’enfant grandit et devient progressivement un adulte. Ses actes sont donc jugés par Allah ‘aza wa jall et l’heure est à la responsabilisation. Les amitiés et relations fraternelles occupent désormais une place importante dans son quotidien. Une occasion supplémentaire pour lui enseigner les valeurs de l’islam !
Quelle compétence puis-je chercher à développer chez mon enfant durant cette période ?
Puisque ses échanges avec le monde extérieur ne cessent de grandir, il devient important pour le parent d’expliquer à son enfant qu’il devient responsable de ses actes, qu’il est jugé par Allah qui le voit et l’entend. L’adolescent doit comprendre que même si nous, parents, ne le voyons pas, Allah certes le voit.
La mémorisation du Coran
Avant l’école, après l’école, le week-end, durant les vacances… La lecture, la mémorisation et la révision des sourates du Coran deviennent une habitude du quotidien pour l’adolescent. Il y consacre un temps nécessaire pour poursuivre sa mémorisation.
Conseil bénéfique : ne perdez pas le fil avec les apprentissages de votre adolescent ! Combien de parents aiment faire réciter leurs enfants de 4 ou 5 ans, mais dès qu’il dépasse les 10 ou 11 ans, les écoutes et corrections des parents se font de plus en plus rares ! L’enfant apprend seul, dans sa chambre ou à la mosquée et le parent ne sait plus à quelle sourate il en est. Quel dommage !
Les actes obligatoires le sont aussi pour le jeune adulte
Prières quotidiennes, jeûne du mois de Ramadan… Les actes obligatoires de tout musulman le deviennent aussi pour le jeune adulte ! Il est donc demandé au parent de rester vigilant concernant ces obligations en s’assurant que son enfant ne se montre pas négligent vis-à-vis de celles-ci.
L’approfondissement de ses connaissances
‘Aqidah, Sira, Fiqh, Hadith, langue arabe… L’heure est à l’approfondissement des connaissances dans tous les domaines favorables à l’apprentissage religieux ! L’adolescent pourra, à cette occasion, identifier quels domaines ou quelles thématiques le captivent le plus : les différents épisodes de la Sira, le Tafsîr, la langue arabe… Avec les encouragements du parent bien évidemment !
L’ouverture aux valeurs morales, aux vertus et à l’éthique
Être social à part entière, l’adolescent se retrouve très souvent au contact d’autres personnes : amis, amies, voisins, professeurs, entraîneurs, oncles, tantes et parfois neveux et nièces… Autant de moyens pour le parent de lui inculquer les valeurs morales qui doivent dicter sa conduite au quotidien, qu’il soit seul ou entouré.
Parmi celles-ci, nous pouvons citer le peu d’importance à accorder à ce bas monde, le délaissement du gaspillage de temps et d’argent, l’importance des bonnes fréquentations, la noblesse de la recherche de la science, le danger de se chercher de fausses excuses, les méfaits de la médisance entre amis ou encore, la fierté qu’il doit ressentir d’être musulman.
Et ce, conformément à ce que Louqmân dit à son fils :
“Mon enfant ! Cherche protection auprès d’Allah contre les pires des hommes et sois sur tes gardes face aux meilleurs d’entre eux. Ne te fie pas à ce bas monde et n’en préoccupe pas ton cœur, car tu n’as pas été créé pour celui-ci.” [Al ‘Aqd Al-Farîd 1/304]
Il doit également prendre conscience de la valeur des savants musulmans.
Dans son livre L’éducation des enfants à la lumière du Coran et de la Sunna, l’auteur, ‘Abd As-Salam Ibn ‘Abd Allah As-Soulaymân dit :
“Pour assurer une bonne éducation, les pères et mères doivent notamment inculquer aux enfants l’amour des savants et des responsables de l’autorité. Les savants sont les héritiers des prophètes, qui ne léguaient ni dirham ni dinar. Ils laissaient derrière eux uniquement le savoir : celui qui s’en empare aura gagné une grande part de leur héritage.”
Nous espérons que ces quelques orientations (non exhaustives) se révèleront profitables et utiles pour les parents qui souhaitent offrir à leurs enfants une éducation saine, basée sur les règles de l’islam et ses valeurs nobles. Qu’Allah fasse miséricorde à celui qui a dit :
“Certes, l’éducation est bénéfique pour l’enfant dans sa jeunesse
Mais elle n’est d’aucune utilité après cet âge.
Ainsi, si tu cherches à rectifier une branche de bois vert,
elle se rectifiera.
Mais le bois mort ne change pas,
même si tu t’évertues à le rectifier.”
Et que les éloges et le salut d’Allah soient sur Son Prophète ﷺ, sur sa famille et sur l’ensemble de ses Compagnons.
Yenin hawa
BarakAllahoufik
Pertinent et encourageant. Il ressort de ce texte qu’il faut aller étape par étape vraiment c’est bienveillant quoi
Choukran
Maktaba Tawhid
Wafik barakAllah. Exactement l’éducation religieuse est un long cheminement sur lequel il faut avancer avec douceur et sagesse. Qu’Allah facilite à tous les parents